C’est toujours un extrême plaisir de retrouver cette série de science-fiction mêlée à du tranche de vie, avec un soupçon de romance, et beaucoup de mystères.
Et si tu n’existais pas, dis-moi pourquoi j’existerai ? Notre chère Rei fait la couverture dans une belle robe chinoise sacrément fendue, elle a une sacrée position.
Nous retrouvons un de ces moments avec Rei, sans vraiment savoir où nous nous situons dans le temps, elle va voir un docteur, un peu trop en avance apparemment pour son ordonnance, le tout avec le sourire. Puis nous entendons parler l’air de rien d’un fait marquant, Jun Mayuzuki aime délicieusement jouer avec nos nerfs, entretenir le mystère, et nous révéler des petits éléments comme ça l’air de rien.
Notre chère Rei avance dans les mystères qui l’entoure, et une vérité bien difficile à accepter et à comprendre apparaît sur elle ainsi que sur Kowloon. De plus, comme si cela ne suffisait pas de notre côté nous avons une autre révélation très troublante que nous avons hâte de remettre dans son contexte pour mieux comprendre comment on en est arrivé là.
Clairement, la citadelle de Kowloon est un personnage à part entière.
Le troublant Hebinuma sera également de retour, et à son sujet nous apprenons également tout doucement certains éléments, mais nous nous posons tout autant de questions. Décidemment, nous n’y échappons pas.
Alors qu’est notre Rei ? Qu’est-ce qu’elle apprend ? Une seule solution, se précipiter pour lire son tome.
Comme toujours il y a quelques réflexions très fortes, un peu de philosophie sur être et paraître, ce qui fait qu’on existe, qu’on est soi-même etc.
Nous revoyons certains personnages, les liens continuent à s’étoffer, Rei vit également sa vie de son côté, rien de plus normal en apparence. Puis nous en verrons également de nouveaux, dont un très énigmatique sur la fin.
Vous avez remarquez comme on ne quitte jamais Kowloon ? Là, Yômei prévoit justement d’aller à Hong Kong récupérer une commande.
Très bonne lecture qui retourne la tête.
Citations :
« Peu importe sous quelle forme on est né, c’est notre façon de vivre qui détermine la voie qui nous est propre. »
« On a beau avoir de l’estime pour soi-même, on n’est pas satisfait tant qu’on n’est pas estimé des autres. »
Lu avec Izneo
Merci pour la lecture