Manga : Insomniaques Tome 3

Fiche

Couverture Insomniaques, tome 3

Un tranche d’envie que j’adore, pour savoir si un jour il sera dans un « top », il lui faudra encore un peu de temps, mais il est déjà cher à mon cœur et rejoint les très bons tranches de vie avec une belle touche d’originalité. Ici, nous sommes avec ces deux jeunes gens, ceux de la couverture, nos deux insomniaques, dans leur monde. Aucune menace d’apocalypse, juste deux lycéens qui ont un souci quelque peu embêtant.
La couverture très belle, elles le sont toutes, nous montre un festival, une fête, et ce sera bien ce qu’on aura.
Tout le tome est assez tranquille, nos deux lycéens avancent, rencontrent des gens, font des activités, interagissent entre eux ou avec d’autres. Mais la fin fait prendre plus d’ampleur aux choses et nous révèle une information intéressante sur elle qui rappelle aussi que derrière les sourires, il peut y avoir des éléments compliqués à affronter dans nos vies.
Les plans graphiques sont beaux, et par moment même sublimes. Le chat est également un petit régal.
Isaki est solaire, pleine de vie, énergique, tout le contraire de Ganta. Mais leur problème d’insomnie va les rapprocher. Ils ont de beaux partages autour de cela, quelque chose que les autres ne peuvent pas forcément comprendre. Dans ce tome, sur la fin aussi, quand on revient sur l’insomnie, ils vont mettre une idée sympathique en place, en plus j’apprécie beaucoup de voir que chacun le fait pour l’autre, que chacun est là l’un pour l’autre.

Très bonne lecture. Une vie simple de lycéens, couplé à un problème d’insomnie pas si simple à gérer. Nous apprenons un élément sur elle, qui arrive avec une grande force à nous balayer. Ils se sont bien trouvés, sont là l’un pour l’autre, un régal de voir leur relation se développer. Le graphisme est superbe, avec certaines planches qui subliment le tout, et sont même en pleine page.

Citations :
« Ne te décourage pas ! C’est toujours à nous de nous adapter à la nature ! »
« Pour ma part quand je ne dors pas, j’ouvre la fenêtre et je regarde les étoiles. »

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