Manga : DOGA Tome 1 (Doga of the Great Arch)

Fiche à faire (oui résumé aussi)
Je les ferai toutes plus tard, merci d’avance pour votre compréhension.

Mon avis / Mes impressions :

« DOGA » ou plus exactement « DOGA of the Great Arch » nous offre un nouvau road trip endiablé et prometteur dans un univers inconnu. Celui-ci est assuré par Toryumon TAKEDA qui a fait « Badducks » (terminé en 4 tomes aussi chez Ki-oon). Nous nous laissons facilement entraîner, mais c’est clairement que le début.
Nous avons deux personnes engagées dans ce road trip qui complètement leurs connaissances, et au fur et à mesure nous apprennent à découvrir leur univers. Deux, dont la route avait très peu de chance de se croiser. Au niveau de la noirceur du quartier des pauvres, oubliés de tout le monde, y compris du gouvernement, certains tentent de survivre honnêtement, et d’autres sont plus cruels.
La série commence tout juste au Japon aussi, vu qu’elle est aussi en cours avec son tome 1.

Les premières pages sont en couleurs pour notre plus grand plaisir, et en pleine action. Apparemment c’est encore après l’évènement auquel on arrive à la fin. Ensuite, nous remontons le temps pour comprendre comment ils en sont arrivés là. Nous avons également quelques flashbacks par moment, une gestion du temps qui bouge, mais permet au fil du temps de raccrocher les évènements entre eux et de mieux appréhender le tout.
Yote est un noble, Doga est une orpheline, pauvre. Doga ne connaît rien au monde extérieur, au monde réel, il était promis à un « grand avenir », mais pas réllement libre. Ahhh la sacro sainte liberté.
Doga est libre à sa façon, mais pauvre (donc pas réellement non plus), elle survit, elle trouve des trucs, mais ne tue personne elle. Elle va travailler pour Yote. Doga peut lui apprendre ce qu’est réellement leurs vies, comment ils survivent, ce qu’ils font, ce que cachent le fêtes de la nuit, pourquoi en plein jour on ne voit personne …
Mais au-delà de ces murs, elle ne sait rien. Elle ne sait pas lire, ne connaît pas le langage universel, n’a jamais vu la mer, n’a jamais vu autre chose que sa cité.

Yoterda va Sotelnoa (dit Yote) vivait confortablement. Nous découvrirons plus tard dans l’histoire ce qui a déclenché son départ. Mais dans son monde, il n’est ni à l’abri de manigance, ni de contraintes. On attend des choses de lui de toutes sortes. Encore jeune, il a voulu découvrir le monde. Il est bien entendu entouré, a de l’argent mais partir seul, sans protection, sans rien vraiment savoir de leurs conditions de vie, c’est pure folie. Oui, c’est ce qu’il fait, il fausse compagnie à ces accompagnants.
C’est Moria, une bricoleuse de génie, plus âgée qu’eux qui sauve Doga, mais en le transformant en cyborg et sous conditions. Elle lui dit d’aller voir Doga pour qu’elle le guide à l’aéroport, ensuite sa famille saura s’occuper de lui. Mais Yote ne l’entend pas ainsi, il veut aller voir les sirènes, et espère retrouver son corps.

Ce tome met tout en place, nous fait découvrir les personnages, leur univers, leurs différences, les liens, comment chacun vit. Vers la fin, tout se précipite pour totalement ouvrir nos horizons et nous faire voir d’autres choses. Nous sentons un potentiel et que ce n’est que le début, même si on a un cri de désespoir en voyant la dernière décision non éclairée de Doga.
Le dessin est brut de décoffrage, à l’image des choses que nous allons vivre. Ils ne sont pas spécialement beaux nos personnages, loin d’être parfait, mais intéressants, « vivants ».
Vous verrez aussi que Yote voyage bien différemment, mais il ne doit pas se faire répérer (sur la fin).

Nous avons donc deux personnes jeunes, d’autres classes sociales, engagés dans un sacré raod trip ensemble, et une autre qui a fait le lien entre elles, et a aussi offert à Yote de ne pas mourir immédiatement tout en étant plus vraiment vivant non plus.
La ville où ils sont au départ, Léoure, est une ville du désert, où il peut faire très chaud.
Au tout départ, nous commençons dans le sable.

On dirait que la mer est utilisée aussi comme un joli symbole de liberté, de voir le monde
Doga doute même de son existence
(Dans l’attaque des titans, ils parlent aussi d’aller voir la mer, pas de sirènes néanmoins).

J’ai surtout hâte de voir ce que la suite nous réserve !
D’en savoir plus cette notion d’arche aussi et sur leur monde en général.

Avis express : Bonne lecture prometteuse, nous ne faisons qu’en découvrir et effleurer l’univers et les personnages, ça se lit sans souci. Vivement la suite pour en savoir plus.

Citations :
« Nul ne sait ce que l’avenir lui réserve alors c’est à toi de décider ! »
« Tu es née et tu mourras dans ce désert alors à quoi bon te parler du monde extérieur ? »
« Le gouvernement nous fournit des vêtements et de la nourriture mais ce n’est pas avec les pauvres rations qu’il nous alloue qu’on peut survivre ! »
« Tu vas avoir besoin d’un petit temps d’adaptation. Ça me fait mal de l’avouer, mais ce n’est pas du travail d’orfèvre. Malheureusement pour toi, on ne vit pas dans un conte de fées. Je n’ai pas le pouvoir de rendre la vie aux défunts. Alors contente-toi de ce que tu as ! »

Merci à Ki-oon pour la découverte et l’envoi de cette nouveaité explosive et la confiance.
Collboration commerciale non rémunérée.

Il vous tente ? Vous avez lu Badducks ? Vois aimez les rod trip ? Découvrir des univers ?

2 commentaires sur « Manga : DOGA Tome 1 (Doga of the Great Arch) »

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