On ne pas se le cacher, ce manga rencontre un franc succès avec moi. Il est diablement bien fait et habile.
C’est avec délice que le lecteur retrouve un nouveau tome de Moriarty, qui le fera sourire avec les multiples références bien connues. Il pourra également étancher sa soif de justice, le tout servi sur un très beau graphisme. Au début du tome, nous retrouvons Sherlock Holmes en bien mauvaise posture, il se fait arrêter et accuser du meurtre d’un comte. Cela le fait sourire et l’émoustille, il prendra plaisir à résoudre cette affaire, et il n’est absolument pas inquiet. John et Miss Hudson ont beau témoigné pour lui, on les accuse de faux témoignages. Si Lestrade est plutôt de son côté, l’inspecteur adjoint Gregson croit fermement à sa culpabilité. Les échanges fusent et sont un régal. Alors de quoi est coupable le comte ? Comment notre cher Sherlock va-t-il réussir à prouver son innocence ? Fait-il honneur à Moriarty ? C’est avec classe et élégance qu’il va résoudre cette affaire, et Watson n’est pas loin pour conter sa véritable histoire qu’elle ne soit pas oubliée. La deuxième partie se concentre sur les Baskerville et le groupe de Moriarty. Fred cherche des affaires digne d’intérêt et tombe sur une sordide qui implique de jeunes enfants, mais il a un doute, il a peur que comme il y a déjà eu une affaire similaire, James Moriarty la refuse, pourtant il tient à punir ces nobles. Alors s’inquiète-t-il à raison ? Qui va aller punir les mécréants ? Ont-ils encore la moindre chance de sauver les enfants récemment kidnappés ? Ou vont-ils se contenter de punir les coupables pour que cela ne se reproduise plus jamais ? Les avis divergent. Attention, vu l’horreur des affaires abordées, ce manga reste conseiller de préférence à un public mûr, averti, avec un coeur solide. Les nobles n’ont plus d’échappatoire. Moriarty et son groupe vont se charger de les punir, et Sherlock pourra révéler au monde entier leur face cachée.
Merci à Izneo pour la lecture joussive car il est bon de voir la Justice triomphée.
Ravie de voir que tu continues à aimer.
Petite question : n’y a-t-il pas trop de Sherlock au détriment de Moriarty ?
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Non, c’est bien partagé.
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Bonne nouvelle alors 🙂
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