Allez, on continue, et que cela ne fasse pas de trop en une fois.
Café society est un film de Woody Allen, avec lui c’est souvent quitte ou double et assez particulier. Celui-ci a plutôt bien fonctionné.
On y retrouve entre autres Jesse Eisenberg, Kristen Stewart, Blake Lively et Steve Carell.
Le jeune Bobby rêve d’autre chose après l’université que de travailler avec son père, vivre avec ses parents, rester dans cette petite ville. Il y est étriqué et rêve d’espace, de grandeur, de faire quelque chose de sa vie.
Pour cela, il va tenter d’aller à Hollywood. Sa mère le met en contact avec son oncle Phil qui a fort bien « réussi », mais il va se montrer bien difficile à joindre. Bobby est prêt à tout faire, il ne se montre pas difficile, et ne peut pas non plus vraiment se le permettre. Mais petit à petit et avec persévérance il va évoluer. Lorsqu’il voit la secrétaire de son oncle pour la première fois, Veronica dite Vonnie, il a un coup de coeur, il est très content qu’elle va lui faire découvrir la ville, moins quand elle lui dit avoir un petit ami.
Mais ce qu’on va surtout voir ce sont des discussions intéressantes, des choix de vie, des ironies de la vie, l’évolution, l’acceptation de la réalité.
Bobby et Vonnie vont vivre de beaux moments et de grandes discussions, allant avec leur jeunesse et sa fougue. Vonnie parle du rêve des femmes qui viennent à Hollywood. Ils vont pouvoir visiter de beaux lieux.
Et la vie les rattrape, et il faut faire des choix. Et des situations sont compliqués et hasardeuses.
Un peu comme Bobby quand il a évolué, on le voit surtout parler avec pas mal de gens, avoir des relations.
Bobby n’est pas seul dans sa famille, il a également un frère, gangster.
Il y a également une dame de la famille mariée avec un universitaire, un intellectuel, mais qui ne sait pas se défendre physiquement.
C’est un film à voir.
MI est un film à voir pour se détendre, pour l’action, mais également pour les valeurs défendues.
Tom Cruise assure toujours, il a quand même de sacrés scènes d’action, en tout cas il semble assurer. La spécificité est que certaines scènes ont été filmées à Paris et qu’apparemment c’était quelque chose.
Ethan Hunt assure, mais il a aussi été amoureux, ce qui peut être un danger et une faiblesse pour la fonction qu’il occupe. C’est compliqué, et deux femmes à qui il tient, on les verra. Vraiment ? Dans des souvenirs ? A vous de le découvrir.
Il tient à son équipe, et le choix qu’il a fait est un choix du coeur qui s’oppose à la raison et lui vaut de gros problèmes. Vous savez ce qu’on dit en sacrifier un pour en sauver cent, mille, des millions…mais sacrifier quelqu’un à qui on tient, qu’on connaît…Epineux et sensible. Une seule personne semble le soutenir tout en s’énervant par moment.
On va lui adjoindre August Walker (Henry Cavill, je sens chez certain(e)s une raison supplémentaire de voir le film) mais qui a le rôle d’une brute épaisse, qui va droit dedans. Ce n’est pas du tout la même conception des choses, et ils sont obligés de faire équipe pour débusquer la veuve blanche, pour trouver l’arme.
Pour l’histoire et les retournements, cela reste assez classique. Une partie de la réflexion reste intéressante. Et le divertissement, show est assuré. On a des pointes d’humour, de l’amour, de l’action.
L’équipe d’Ethan est attachante et tous tentent de faire de leur mieux, même si certains ont plus de mal sur certains points.
On ne doit débusquer rien de moins que du plutonium qui sont dans des boules et qui si elles explosent vont faire de sacrés dégâts.