Hello,
On se retrouve pour aborder 2 séries.
Ce qui les réunit c’est que les thématiques abordées sont très intéressantes, dans l’air du temps. Mon souci est que j’ai eu des hauts et des bas, pas totalement dedans, oui même Westworld où je lui ai préféré la saison 1 fraîche, originale, prenante. Je l’ai trouvé plus fade, en manque de quelque chose. Quant à kiss me first, elle était lente par moment, pas assez prenante.
Fiche en lien sur l’image
Westworld saison 2
Bon, alors soit j’ai loupé mes tags, soit j’ai loupé mon timing, car il ne semble pas y avoir de sujet sur la saison 1.
Ce que je me suis dit plusieurs fois, c’est n’essaye-t-il pas d’en faire trop ? tellement, que ça ne prend plus vraiment ?
Il est intéressant de voir les hôtes prendre conscience d’eux-mêmes, souhaiter la liberté ? Certains plus spécifiquement. On peut évidemment avoir quelques surprises du genre découvrir que quelqu’un était un hôte.
Vous imaginez s’ils se souviennent de toutes leurs vies ?
C’est très étrange le fait qu’ils aient pu créer un véritable lien sentimental, comme la mère avec sa fille.
Cette réflexion m’a emmené plus loin car je me suis questionnée sur qui on était vraiment, sur la différence avec avant. Si on a changé, on est encore nous-mêmes ? Qu’est-ce que cela fait de la personne qu’on était avant ? Nous sommes constitués de quelque chose qui nous est propre mais également de la somme de nos expériences qui a pu nous changer en bien ou en mal.
L’autre questionnement à part homme/machine, et sentiment est amené beaucoup avec le scénariste. C’était intéressant de le voir prendre part à l’histoire qu’il a écrite. On voit très vite les limites aussi. Par exemple, les mondes se répètent en quelque sorte, c’était quelque part amusant et ça reflétait le fait d’en demander de trop, trop vite, que ce n’est pas possible, et que ça venait comme une fatalité. De plus, j’ai bien aimé le monde japonais, ça changeait.
A qui faire confiance ? Qui est-on ? Où va-t-on ?
Une saison profonde en réflexion amenée mais en dent de scie sur les sentiments qu’elle dégage. Cela reste une série à voir.
Je n’ai encore rien révélé, mais sinon on peut dire que Dolores a sacrément changé, il y aussi Maeve et qui a des compétences spéciales, et c’est toujours aussi fou de voir l’évolution de William.
En 10 épisodes
Kiss me first Saison 1
Dans le monde virtuel d’Agora, Leila rencontre Tess et tout un étrange groupe. Virtuel ou réalité ? Quelles limites ?
Adapté du livre Kiss me first de Lottie Moggach
C’est une mini série pouvant appeler une suite faite par les anglais, avec un rythme assez étrange, lent.
Le titre est également assez étrange vu le thème, et l’image également. En fait, elle porte un collier pouvant procurer des sensations, faisant ressentir ce qui se passe dans le jeu.
Azana est un monde virtuel qui a été crée il y a quelques années, il y a beaucoup d’adeptes dont Leila. Par quelques flashbacks, on verra son apparition.
Leila est assez réaliste et touchante, on a quand même l’impression qu’elle gâche ses compétences. Sa situation familiale au départ est lourde.
Le jeu semble plus être un jeu de baston, mais à un moment elle tombe sur un monde caché, des gens qui profitent d’un charmant espace privé.
D’ailleurs il faut savoir que quand on est dans Azana, on est dedans, on est immergé par le graphisme aussi, plus comme un film d’animation, pour trancher avec la réalité et montré Azana. Cette bande s’appelle eux-même des loosers, dans le jeu rien ne transparaît, mais dans la réalité la situation a l’air compliqué.
Quelqu’un va disparaître du jeu. Que s’est-il passé ? Et dans la réalité ?
Leila n’hésite pas à chercher ce qui se passe dans le jeu, en se servant de connaissances informatiques, ainsi qu’à rencontrer des gens dans la réalité.
Leila va rencontrer des gens dans la réalité ainsi que ce groupe sur Azana. Dès que quelque chose lui semble bizarre, elle n’hésite pas à creuser.
La virtualité et la réalité vont aussi se relier, car le tout constitue sa vie. Et que la virtualité c’est gentil mais pas suffisant.
La série nous livre donc une réflexion sur la virtualité, la réalité, la confrontation entre les 2, et les relie d’une étrange façon. Elle est lente par moment, et assez bizarre dans sa conception et réalisation, mais originale aussi.
En 6 épisodes, disponible sur Netflix.
Le concept de Kiss Me First a l’air sympa 🙂
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Oui c’est la raison pour laquelle j’ai commenc » et continué la série.
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Moi, je ne suis pas plus attirée que ça pour KMF, je ne pense pas tester.
Par contre, l’épisode sur Akecheta est une merveille ❤
Par contre, je te retrouve sur pas mal de points de Westworld même si cette saison 2 est clairement en-dessous de la 1 car elle cherche trop à faire plaisir aux fans et ce n’est pas forcément réussi… genre avec les autres parcs où ça casse le rythme et n’apporte rien
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